Sound design for movie and video installation
Il y a l’Histoire… puis les histoires du passé, les bribes de souvenirs des uns et des autres et ceux qui sont partagés, sur un territoire. Avec ce mouvement de la mémoire, précis…«comme si c’était hier» ou plus diffus, le mouvement de l’esprit et des corps qui la porte…
Lorraine Gomès
Video Installation 2 synchronized videos 1280×720, 25 fps rear projection on 2 screen 4m x 2.25m composed of 7 and 9 suspended 1m x 6m (material: geotextile) layer. Audio on 4 different and independent audio sources (by Fred Malle) synchronized with video projection. 60-70 chair creating landscape and give the possibility to the public to seat.
film by Lorraine Gomès et Paolo Rudelli
video installation & concept Paolo Rudelli
director of photography Paolo Rudelli
music & sound engineering by Fred Malle
editor Paolo Rudelli
camera assistant Romain Penalva
boom operators Marlène Loussouarn et Romain Penalva
with Emeline Bendrot, Aurélie Guinot, Camille Laffond, Emma Fontenas, Maud Tonnau, Jocelyne Dreux, Jeanne Petraud, Jacqueline Normandin, Maud Tribot Laspière, André Dangel, Michel Jules, Daniel Abran, Michel Montel, Bernard Brodut, Alain Couet, Association Les Echardrits, Classe de Pigeat de l’école primaire d’Argencourt / Château d’Oléron
special thanks Nicolas Brulbault, Françoise Bonnin/Club d’histoire de Tonnay-Charente, Médiathèque de Rochefort, Aurélie Jacquet/Musée Pierre Loti de Rochefort, Denis Rolland/Musée de la Marine de Rochefort, Nicolas Baidarachvilly/Ecole de Musique et Danse de Châtelaillon-Plage, Nathalie Pigeat/Ecole primaire de Château d’Oléron, Jacques Barinet Production, Alain Ohnenwald/Abbaye Royale de St. Jean d’Angély, Ville de Rochefort, Ville de Châtelaillon-Plage
production Compagnie Décadrages
with the support of Ville de Tonnay-Charente Ville de Royan Région Poitou-Charentes Département de la Charante Maritime
management contact Compagnie Décadrage Video installation @ opening night. in Tonnay-Charente 26 October 2012
2014 / Cie Decadrages / Lorraine Gomes – Paolo Rudelli
This post is also available in: Français
